Conseil en réhabilitation des structures
            Méthode des éléments discrets 
      L’une des différentes formes de modélisation  des structures de maçonneries et de pierre est la “Méthode des éléments  discrets”, ou “Méthode de blocs”, où l’on admet que la déformabilité du système  est représentée totalement par les surfaces de discontinuité. Elle admet ainsi que les éléments (blocs) sont indéformables, ce qui est  proche de la réalité. 
      Méthode des éléments finis
      Oz fournit des  services de modélisation des structures réalisées avec le puissant logiciel “Diana”,  développé par TNO. 
        Le logiciel utilisé par Oz, basé sur la  méthode des éléments finis, permet d’effectuer des analyses statistiques et  dynamiques en régime linéaire ou non-linéaire, ce qui le rend particulièrement  versatile et adapté à des structures complexes, comme, par exemple, des  bâtiments anciens en maçonnerie. 
Étant donné se grandes connaissances dans le  domaine de la pathologie et de la réhabilitation des constructions récentes et  anciennes, l’entreprise peut fournir à ses clients, non seulement le modèle  analytique, mais aussi un ensemble de suggestions quant aux stratégies et aux  techniques à adopter dans les interventions de réparation et de renforcement.
Ces services se dirigent non seulement aux  utilisateurs ou aux responsables ultimes des constructions concernées, mais  aussi aux propres bureaux d’études chargés de concevoir et de projeter les  interventions de réhabilitation. 
      
      
      Exemples:
      
        
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          |  | Figure 1 -Casa  do Lanternim, Mértola: vue de la façade principale et modélisation des éléments  finis adoptée pour l’analyse globale. |  | Figure 2 -
          Quarteirão do Martinho da Arcada, Lisbonne: vue de  la façade principale et modélisation des éléments finis adoptée pour l’analyse  globale. |  | 
      
      
        
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          |  | Figure 3 - Analyse plane linéaire du Sanctuaire de Santo  Cristo à Outeiro, Bragança: représentation des   tensions principales (kpa) maximales et minimales sur la structure  déformée. |  | Figure 4 - Église de São Francisco, à Horta: tensions  principales de compression (kPa) pour les efforts verticaux (façade Nord et  perspective). |  | 
      
      
        
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          |  | Figure 5 -          Église de São Francisco, à Horta: fendillement par  le séisme +Y pour 86% de l’action sismique prévue, prenant en compte l’effet de  diaphragme de la couverture (représentation des extensions principales  maximales). |  |  |  |